Jeune société innovante du secteur Medtech créée il y a un an et demi, WaveImplant a réussi une première augmentation de capital significative auprès de différents investisseurs appartenant au réseau industriel de ses fondateurs.

 

Pour être en capacité de développer et de commercialiser ImplantUS à l’horizon 2023, conformément à leur plan de développement et de financement, WaveImplant et ses fondateurs (i.e. Guillaume Haïat et Pascal Breton) ont mobilisé quelques uns de leurs contacts industriels qui, ensemble, ont permis de boucler une première augmentation de capital de 170 k€. Cette première opération de renforcement des fonds propres de l’entreprise permet la poursuite des travaux de pré-industrialisation d’ImplantUS et d’initier la phase d’élaboration du dispositif pilote.

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Pascal Breton, Président de WaveImplant, déclare « Nous sommes heureux d’enrichir notre actionnariat avec l’arrivée d’industriels expérimentés et reconnus dans les domaines de la santé, des dispositifs médicaux et du conseil stratégique. La confiance qui nous est accordée constitue une validation de notre démarche entrepreneuriale et nous encourage à accélérer le développement de WaveImplant et à accroître sa visibilité auprès des acteurs de notre secteur d’activité ».

WaveImplant, start-up Medtech française spécialisée dans le développement et la commercialisation de dispositifs médicaux d’aide à la décision, notamment dans le domaine de l’implantologie dentaire, se focalise sur le développement d’ImplantUS, un nouveau dispositif médical ultrasonore fruit du travail de recherche de l’équipe de Guillaume Haïat au sein du Laboratoire Modélisation et Simulation Multi-Echelle (MSME, UMR CNRS 8208, Créteil, France). ImplantUS permet de mieux encadrer les procédures chirurgicales d’implantologie dentaire de plus en plus répandues et de mieux garantir leur succès à court et moyen termes.

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Très attractif, le marché mondial de l’implantologie dentaire pèse actuellement 6,0 milliards d’euros et connaît une croissance annuel soutenue de l’ordre de 8%. Aujourd’hui, il faut cependant reconnaître que 10 à 20% des poses d’implant se soldent par un échec évidemment fortement préjudiciable aux patients et aux chirurgiens-dentistes. En grande majorité, ces échecs sont la conséquence d’une ostéointégration insuffisante de l’implant et du manque de stabilité de ce dernier. Avant d’adapter la prothèse sur l’implant, les praticiens sont donc à la recherche d’une évaluation précise et fiable de la stabilité de ce dernier. Or, actuellement, les approches empiriques ou technologiques utilisées à cette fin répondent très imparfaitement au cahier de charges et laissent un clair besoin non satisfait auquel ImplantUS vient répondre.